Devrait-on permettre à d'autres personnes de demander des ordonnances de non-communication au nom de personnes à risque?

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L'Ontario examine deux modifications aux règles sur les ordonnances de non-communication. Premièrement, certaines personnes devraient-elles pouvoir demander une ordonnance au nom d'une personne à risque, comme un membre de la famille fuyant la violence? Deuxièmement, les ordonnances d'autres provinces devraient-elles être plus faciles à faire respecter en Ontario? Actuellement, une personne ayant une ordonnance de la C.-B. peut avoir du mal à la faire reconnaître ici.

Pourquoi c'est important

Connaissez-vous quelqu'un dans une situation dangereuse qui ne peut pas naviguer seul dans le système juridique? Cela pourrait permettre à des personnes de confiance d'intervenir. Vous déménagez en Ontario pour fuir un ex violent? Votre ordonnance existante devrait vous protéger ici aussi.

Ce qui pourrait changer

De nouveaux règlements pourraient préciser qui peut demander des ordonnances au nom de personnes à risque—possiblement des membres de la famille, des travailleurs sociaux ou des défenseurs des victimes. Une nouvelle loi pourrait créer un processus simplifié pour enregistrer les ordonnances d'autres provinces afin que la police ontarienne puisse les faire respecter immédiatement.

Enjeux clés

  • Qui devrait être autorisé à demander des ordonnances de non-communication au nom de personnes à risque?
  • Comment l'Ontario devrait-il simplifier l'application des ordonnances provenant d'autres provinces?
  • Quels sont les coûts et avantages potentiels de ces propositions?

Comment participer

  1. Cette consultation s'est terminée le 28 novembre 2025. Les commentaires ont été soumis via le Registre de la réglementation de l'Ontario.