Le territoire de Bighorn devrait-il devenir un parc sauvage protégé?

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En 2018, l'Alberta a proposé de créer un nouveau parc provincial sauvage dans la région de Bighorn Country, à l'ouest d'Edmonton. Le plan aurait élargi les parcs, les zones de loisirs et les zones d'utilisation des terres publiques, de la frontière de Banff jusqu'à Drayton Valley. L'objectif? Protéger les sources d'eau et les habitats fauniques tout en stimulant les loisirs de plein air et le tourisme. Le processus de consultation a été interrompu au printemps 2019 pour permettre une nouvelle approche de la planification de l'utilisation des terres.

Pourquoi c'est important

Vous aimez la randonnée, le camping ou le quad dans l'arrière-pays albertain? Cette proposition aurait changé la façon dont vous accédez aux terres publiques près de Banff. Les éleveurs, les pourvoyeurs et les entreprises locales étaient aussi concernés. Les sources d'eau de la région alimentent la rivière Saskatchewan Nord, qui fournit l'eau potable à Edmonton et aux communautés environnantes.

Ce qui pourrait changer

La proposition aurait créé un nouveau parc provincial sauvage de Bighorn et élargi plusieurs parcs et zones de loisirs existants. De nouvelles zones d'utilisation des terres publiques auraient établi des règles pour les loisirs motorisés, le camping et l'extraction des ressources. La consultation a été suspendue en 2019, donc aucune décision finale n'a été prise.

Enjeux clés

  • Devrait-on créer de nouvelles zones protégées pour conserver les sources d'eau et la biodiversité?
  • Comment les loisirs motorisés et non motorisés devraient-ils être gérés dans la région?
  • Quelles désignations de terres soutiendraient le mieux le tourisme tout en protégeant l'environnement?

Comment participer

  1. Consultez la proposition pour le territoire de Bighorn pour comprendre ce qui était proposé.
  2. Lisez la FAQ et le glossaire pour des informations de base.

Ce qui s'est passé

La consultation s'est déroulée de novembre 2018 à février 2019. Les commentaires ont été examinés en février 2019, mais le processus de consultation a été interrompu au printemps 2019 pour permettre une nouvelle approche de la planification de l'utilisation des terres. Aucune décision finale n'a été prise sur la proposition.